Développer au bénéfice d’une telle mission me donne de l’énergie, bien plus largement que l’objectif de faire simplement du chiffre. Ça élève !
« J’ai eu avant de rejoindre le groupe une expérience dans une start-up. J’ai développé une market-place pour l’enfant. Et je rêvais alors d’un service premium de revente garantie des produits. Arrivé dans le groupe, je me suis dit que le troc pouvait apporter à ÏDKIDS une valeur ajoutée « différenciante ».
Je suis un défricheur, je suis un pionner, je suis un passionné : tous ces ingrédients sont réunis dans ce projet. Développer au bénéfice d’une telle mission me donne de l’énergie, bien plus largement que l’objectif de faire simplement du chiffre. Ça élève !
Pour le déployer, j’ai eu depuis un peu plus d’un an une grande liberté, avec une juste pression de la part de l’entreprise et de mes managers en termes de timing et de concrétisation : ils m’ont un peu mis dans les mêmes conditions qu’un entrepreneur chaque fin de mois !
Mes managers, Eric et Cédric, m’ont laissé une grande liberté d’action, mais avec une attente de reporting après chaque opération. L’état d’esprit de l’entreprise pour mener un tel projet est génial, parce qu’on peut circuler d’une enseigne, d’une marque, d’un service support à l’autre très facilement : de l’IT pour faciliter le passage en caisse, la compta pour négocier de ne pas avoir de TVA, le réseau magasins….
C’est une configuration idéale car il y a un capital très solide sur lequel s’appuyer, celui des marques, leur image, leur visibilité, leur confiance… pour développer ce service innovant. L’avantage de l’ÏDTROC, c’est qu’il est tellement dans l’ADN du groupe que c’est encore plus puissant. Et puis, il y un projet fort, ACT FOR KIDS, extrêmement motivant car cela donne le sens à mon travail. C’est vraiment un projet collectif où chacun trouve sa place. J’ai aussi des ailes parce que je sens que c’est important pour l’entreprise, qu’elle y croit, les magasins aussi : tout le monde adhère. Je me mets au service du projet, mais plus les gens se l’approprient, plus ça se développe.
Les prochains challenges ? Déployer sur plus de magasins et décliner en numérique ! Juste pour 2017… »