Okaïdi, la marque mère de la communauté ÏDKIDS se veut universelle et respectueuse de chaque enfant. C’est d’ailleurs avec cette promesse qu’elle est devenue leader dans plus de 70 pays. Après les métiers à l’international et les métiers du siège, partons aujourd’hui à la rencontre de celles et ceux que vous croisez dans les magasins.
« On travaille beaucoup sur le management collaboratif »
Dans une autre vie, Nathalie s’occupait d’enfants en difficultés. Elle y a développé une forte empathie expliquant sans doute son choix de travailler dans l’univers de l’enfant. « J’ai démarré comme première vendeuse, puis co-responsable et enfin responsable de magasin quelques mois plus tard. J’ai enchaîné ces différents postes rapidement : il y a de grandes possibilités d’évolution pour quelqu’un qui a le sens du commerce ». Chaque semaine Nathalie fait une relecture de la semaine passée avec son équipe, « puis je lance la semaine et je fédère mon équipe autour d’un objectif hebdomadaire commun. Ce que je trouve particulièrement intéressant dans mon métier c’est la variété : il faut faire de la gestion mais aussi garder le contact avec le client. J’essaie aussi de coacher au mieux mes équipes : la réussite ne se fait pas seul, il faut les féliciter, faire attention à eux etc… ». Nathalie estime avoir beaucoup de chance de travailler dans l’univers de l’enfant : « S’occuper des enfants ça passe beaucoup par l’émotion. Nous avons à cœur de bien faire. Nous nous intéressons en priorité aux échanges humains et à la relation avec le client. C’est conforme aux valeurs transmises par Okaïdi notamment le respect, la notion de partage, l’envie que ça marche et grandir ensemble. Nous travaillons beaucoup sur le management collaboratif. Cela fait 20 ans que je suis là et ce n’est pas pour rien ».
« Notre objectif est de faire grandir nos équipes et qu’elles soient épanouies »
Après un parcours professionnel au sein d’un grand cabinet d’audit, Martin Auvray a fait de l’audit interne chez Kiabi durant quatre ans avant d’intégrer le groupe ÏDKIDS. Depuis près de 15 mois il est pilote régional dans le nord-est de la France de Lille à Reims en passant par Charleville-Mézières. Quel est le rôle d’un pilote régional ? « Nous sommes des managers de proximité au service de nos équipes pour les accompagner et les aider à atteindre nos objectifs. Nous sommes là pour faire grandir nos équipes et faire en sorte qu’elles soient épanouies et heureuses dans leur métier. Chez ÏDKIDS nous sommes sur une dynamique de projets. Nous sommes tous au service du projet global de l’entreprise et nous agissons pour que le monde progresse au service de l’enfant qui grandit ». Martin Auvray sillonne tout le nord-est de la France : « Ma voiture est mon bureau et mon téléphone mon meilleur ami. Je veux rester à proximité de mes équipes donc je me déplace souvent pour être au maximum à leur écoute et me rendre disponible pour leur transmettre de l’énergie et corriger éventuellement les signaux faibles ». Chaque début de semaine Martin Auvray fait un point sur les chiffres de la semaine passée et les performances de satisfaction. Selon lui, pour faire ce métier, il faut de bonnes qualités de gestion, avoir le sens du commerce évidemment et de l’énergie à revendre. « Il faut aussi un amour de l’humain ». Ce qui correspond totalement aux valeurs de la marque, essentielles à ses yeux : « la complicité, la notion de beau et l’exigence d’une marque ».
« Aucune journée ne ressemble aux autres »
Avec en poche un bac pro secrétariat et un BTS assistante de direction, Mallaurie ne se destinait pas à la vente. Mais travailler chez Okaïdi en parallèle de ses études fut une révélation : « La vente me plaît beaucoup : je ne pourrais pas rester dans un bureau toute la journée ». Alors après quelques CDD, elle signe finalement un CDI chez Okaïdi. Depuis 13 ans, elle travaille donc chez Okaïdi comme conseillère de vente à Louvroil. « Aucune journée ne ressemble aux autres, c’est la magie de ce métier : chaque jour est différent », explique-t-elle. Au magasin chaque vendeuse est soit en boutique, soit « aux colis », c’est-à-dire en réserve pour préparer et inventorier les arrivages. En plus du conseil et du service client, les vendeuses font aussi du merchandising, l’installation des vitrines etc… Pour elle, on ne peut faire ce métier que si l’on est « généreux et empathique. Nous sommes là pour rendre service aux clients. Il faut avoir le sourire et être très dynamique ». Il faut aussi, selon elle, « aimer les gens, aimer l’humain pour faire en sorte d’améliorer les choses et de faire toujours de son mieux ».