Oxybul franchit une nouvelle étape en matière d’internationalisation cette semaine (avril 2021) avec la mise en place d’un outil intégré de gestion. Patrick VANCAYSEELE, Directeur partenaires retail, explique en quoi c’est une très bonne nouvelle.
Qu’est-ce que va changer la mise en place de ce nouvel outil ? Avec Salesforce, l’ensemble des éléments de la vie d’un partenaire, de la prospection à la facturation, sera consigné au même endroit. On va vraiment passer du boulier à l’hyperespace !
Avec quel impact ? Cela va nous permettre de diviser par 10 le temps de process administratif, donc de gagner en réactivité vis à vis de nos clients. Il sera bien plus facile d’émettre devis et propositions. Nous allons également pouvoir consolider une base de données clients et assurer un suivi et des relances de meilleure qualité grâce aux possibilités d’archivage des historiques. Les commandes seront également plus rapides. La facturation, la liasse documentaire export : tout sera centralisé sous le même logiciel.
Le service international sera ainsi complètement autonome.
Pourquoi c’est important ? Nous allons pouvoir mieux accompagner nos clients sur leurs choix en fonction de leurs historiques de commandes et améliorer ainsi nos relations. Le gain d’efficacité administrative va nous permettre de répondre à un plus grand nombre de commandes, petites ou grandes, donc de générer plus de chiffre d’affaires. Et nous pourrons plus finement piloter la marge.
Autre bonne nouvelle : cette plateforme va également grandement faciliter le travail de l’équipe B to B Oxybul (qui s’occupe de la commercialisation auprès des écoles, crèches, comité d’entreprises…).
Quelles sont les prochaines pistes pour Oxybul à l’international ? Nous avons dans le viseur une île de Méditerranée, les Etats-Unis et la Russie…
A suivre !