Clémentine est arrivée dans le groupe ÏDKIDS en 2018 pour un stage en contrôle de gestion. Quatre mois plus tard, elle poursuit son expérience au contrôle de gestion en alternance. Elle raconte…
Pour Clémentine, l’aventure ÏDKIDS est avant tout familiale. Après une expérience de Directeur de Magasin chez Oxybul – Eveil et jeux, son père a ouvert le 1er magasin ÏDKDIS à Fâches. Autant dire que l’univers du groupe n’a plus de secret pour elle !
Lorsqu’elle cherche son 1er stage, postuler au sein du groupe ÏDKIDS est une évidence pour Clémentine: « J’ai toujours connu le groupe, son projet et ses valeurs à travers l’expérience de mon père. »
» C’est avant tout le projet de l’entreprise qui m’a séduite. «
« Je suis moi-même présidente d’une association « La Clé du Partage » dont le but est de venir en aide aux enfants à travers le monde en améliorant leurs conditions d’éducation. J’avais d’ailleurs déjà rencontré le Fond’Action ÏDKIDS.COMMUNITY quand je cherchais à financer un voyage humanitaire en 2017. »
« Je cherchais également à rejoindre un grand groupe, pour effectuer un stage avec des missions 100% contrôle de gestion, ce qui est rarement le cas quand on travaille dans une PME où les missions englobent presque toujours de la comptabilité. Intégrer un groupe permet également de bénéficier des opportunités d’évolution en interne. Ça a d’ailleurs été le cas, puisqu’après mon premier stage, on m’a proposé de poursuivre ma licence en alternance ».
Depuis Septembre, Clémentine occupe un poste de Contrôleur de Gestion en alternance. Sa mission consiste à accompagner les managers en éclairant leurs décisions. Pour cela, elle s’appuie sur les données chiffrées, pour leur permettre de mesurer la performance, gérer leurs budgets et maitriser leurs frais. Elle nous explique que dans son métier il est essentiel de « comprendre les besoins des opérationnels, mais également leurs contraintes et les objectifs fixés par l’entreprise, d’échanger avec eux pour piloter les dépenses ».
Comment a-t-elle été formée en interne ?
Son métier, Clémentine l’apprend progressivement : « Ma formation se fait au fur et à mesure des missions qui me sont confiées. Je suis très autonome : on me montre une première fois, je reproduis et nous relisons avec mon manager. Mon manager me pousse aussi à réfléchir pour trouver des solutions par moi-même plutôt que de me donner toutes les clés tout de suite. Je trouve cette méthode très responsabilisante ».
La disponibilité et l’écoute de son manager sont primordiales pour Clémentine : « Je vois mon manager en point individuel chaque mois. Elle suit aussi bien mes missions en entreprise qu’à l’école. Par exemple, elle m’a donné de précieux conseils pour enrichir mon rapport d’alternance. C’est rassurant de l’avoir à mes côtés et c’est souvent un regard neuf qui me permet d’avancer. »
Quand on demande à Clémentine ce qu’elle retient de cette expérience, elle nous parle surtout de la satisfaction de se sentir utile. « Quand j’établis les budgets, les managers se servent ensuite de mon travail toute l’année. C’est gratifiant et valorisant car mon rôle de conseil compte dans les décisions qui sont prises. » Sa relation, avec les managers qu’elle accompagne, la nourrit également au quotidien : « J’aime ce contact, ce relationnel, c’est stimulant de travailler avec des personnes d’horizons aussi variés ».
Quelles qualités faut-il pour exercer ce métier ?
Pour exercer ce métier, Clémentine a progressivement appris à prendre du recul et de la hauteur, « il était important de regarder au-delà de mon périmètre et de mon poste, de comprendre les impacts pour le métier et de m’y adapter. » Elle reconnaît, amusée, qu’il faut bien entendu « aimer Excel et les chiffres, mais le plus important est de ne pas avoir peur d’aller s’assoir à côté des opérationnels pour comprendre leurs sujets et échanger ».
La suite ?
Clémentine souhaite poursuivre ses études « en intégrant l’année prochaine un Master en audit et contrôle de gestion en alternance et toujours chez ÏDKIDS « dans l’idéal ! ». Après son Master, elle envisage d’effectuer une année de césure pour perfectionner son anglais en voyageant. Et bien sûr, elle veut reprendre son association avec l’organisation d’un nouveau projet humanitaire.